L'univers de Vekoros

Au fin fond d'une jungle, le célèbre otomaï vivait avec une assistante, une énutrof, et expérimenté ses potions sur des créatures fantastiques. Mais un jour, il reçut une commande d'un aventurier, nommé Pluma, sram de toute arrogance. Mais cet aventurier n'avait pas réfléchis aux ingrédients à fournir, donc otomaï, n'acceptant pas de fournir les ressource nécéssaires, demanda à son client de revenir avec les ingrédients requit...

Otomaï lui lança son regard, perçant 50% des espoirs de l'aventurier. Il lui énuméra les ingrédients suivant :
-1 plume du kwakwa
-1 couronne du bouftou royal
-1 bave de Boufdégout-le-refoulant
-1 corne de minotor
-1 poil de barbe du guerrier pandikaze
-1 feuille de sapik
-et 1 échantillon de peau du kralamoure géant.
L'aventurier en resta bouche-bée pendant une bonne quinzaine de minutes, avant de réaliser qu'il était en train de baver sur une araknawa jaune (et oui, otomaï fait une tonne d'expérience !). Ce fut le kralamoure géant qui lui fit le plus peur. Otomaï lui donna 8ans pour réunir tout les ingrédients. En sortant, Pluma avait le cerveau remplit de peur et de désespoir. Mais l'assistante d'otomaï vint à son secours ; elle lui adressa un regard qui dirait "accroch-toi", mais elle ne dit rien. Elle tendit la main où contenait quelque chose. Une carte, avec une espèce de voiture-montgolfière. Derrière il y avait deux mots, le premier de quatre lettres, et le deuxième de sept lettres. Il retourna la carte et lisa ce qu'il y était. Au bout de cinq secondes, il avait compris... Il remercia infiniment l'énutrofette...

Ce qu'il avait obtenu était un pass exceptionnel dans tout le monde des douzes. Le pass premium pour voyager en transporteur brigandin gratuitement et rapidement, en première classe en plus ! Il alla commencer la recherche des ingrédients. Il se dit que commencer par le plus facile serait un bon choix. Il décida alors de se rendre dans l'antre du bouftou, là où il rencontrera le bouftou royal, pour lui voler sa couronne. Au passage, peut être qui trouvera Boufdégout-le-refoulant, pour extraire sa bave. Mais, le voyage allait être difficile pour arriver au donjon des bouftous... Il se trouvait à l'ile d'Otomaï, loin de l'antre du bouftou royal... Il décida de sacrifier un peu de kamas pour utiliser le zaap. Pluma chercha le zaap de l'ile bien longtemps avant de le trouver. Il lança les kamas dans le zaap², prit de l'élan et traversa le zaap en courant...

²Dans mon histoire, l'endroit où on allait atterrir était absolument aléatoire... Du coup, on pouvait partir du zaap de l'ile de moon, vouloir atterrir à Amakna et débarquer à Frigost...

L'arrivé fut... Brutale. Il était arrivé à Bonta. Il déplia sa carte et se dit qu'il vaudrait mieux qu'il prenne le zaapi pour aller en direction de l'hôtel des ventes des bouchers, qui est tout près de la sorti de bonta. Après une bonne nuit de sommeil dans la taverne de la Chopenbois, il arriva enfin au fameux hôtel des ventes. Mais là, en sortant de bonta, quelque chose l'attaqua... Quelque chose de....r..f....l...n...t...

Boufdégout-le-refoulant apparut. Pluma avait quand même de la chance, un archi-monstre super rare se tenait devant elle. Bon, il faisait un peu 12,456728463 mètres de haut, mais bon, fastoche pour elle ^^.
Elle dégaina ses dagues et lança son sort d'invisibilité. Elle fit le tour du monstre qui, en réalité, ne l'avais même pas remarqué. Elle désactiva alors son invisibilité, et elle posa quelques pièges mortel devant le monstre. Il ne la remarqua toujours pas. On se demande pourquoi d'ailleurs. Elle se mit devant lui et fit de grand signes pour qu'il la voit. Le boufdégout la vit enfin, il se mit dans la tête qu'une fourmi malgré son régime ne lui ferait pas de mal. Il se mit à marcher à la vitesse d'un tsunami (900km/h environ), mais il n'avança pas plus car il était parti la-haut.
Quand il essayait de bouger, les pièges s'activait 1 par 1. Donc il était mort en un rien de temps. En mourrant, il avait bavé. Slurk, jura-t-elle tout bas. Elle préleva quelque litre de bave et le stocka à la banque de bonta. Elle se mit vraiment en route. Elle prit la route pour le nid du kwakwa.